Joseph Fissore
Source Ebay, pseudo freval91 trompette Fissore. Mes remerciements.
La Petite République du 24 décembre
1876 :
L'incendie de la rue Martel.
Voici des détails sur l'incendie de la
rue Martel, 5, que nous avons annoncé hier.
C'est chez M. Fissore , fabricant
d'instruments de musique, demeurant au premier étage, que le feu a
pris naissance. On ignore comment ; Il est à supposer qu'il est
du à une fuite de gaz, M. Fissore ayant fait réparer dans la
journée son appareil à Gaz. Le feu a promptement gagné le second
étage, habité par un confectionneur pour dames...
L'Univers du 24 décembre 1876 :
...le feu a commencé rue Martel, n°5,
dans la fabrique de cordes à violons et d'instruments d'harmonie de
M. Fissore...
Le Constitutionnel du 9 avril 1882 :
Vol :
Un individu se présenta mardi chez M.
Collin-Mezin, luthier, rue du faubourg Poissonnière, 10. Il y
marchanda un archet de peu de valeur et le trouva trop cher, pendant
que le marchand lui cherchait un autre archet, l'individu s'empara
d'un violon de grand prix et s'enfuit.
Le lendemain matin, un autre marchand
d'instruments de musique du même quartier, M. Fissore, établi rue
d'Hauteville, 70, voyait entrer chez lui un individu qui, avec un
accent italien, très prononcé, lui offrit de lui vendre un violon.
M.Fissore avait été averti par son
confrère du vol , dont celui ci était victime ; il examina
l'instrument qu'on lui présentait et reconnu qu'il était bien celui
dérobé à M. Collin.
Le filou n'en demandait que 300 francs,
bien qu'il en vaille au moins 600.
M. Fissore parlementa longuement avec
lui, pendant que son fils allait prévenir le légitime propriétaire
du violon.
Ce dernier reconnut immédiatement dès
son arrivée le voleur, qui comprit qu'il était perdu et se laissa arrêter sans opposer de résistance.
Le XIXe siècle (Paris. 1871), source
Gallica:
1896/04/03
EXPLOSION RUE DE CHANTILLY
Un moteur à gaz qui éclate
Sauve qui peut - L'incendie - Les secours
L'enquête
Une explosion dont les causes semblent jusqu'à présent être, attribuées à une fuite de gaz, s'est produite dans l'après-midi d'hier, à une heure vingtcinq, dans l'immeuble situé à
l'angle de la rue de Chantilly et de la rue de Bellefond et occupé par M. Fissore, fabricant
d'instruments de musique. Au moment où, le signal de la rentrée dans les ateliers donné,
les ouvriers se préparaient à commencer leur travail, une terrible détonation retentit,
pendant qu'un commencement d'incendie se déclarait.
Une panique s'empara des ouvriers qui commençaient à travailler, et en courant pour se
sauver, deux d'entre eux se blessèrent assez grièvement. Les pompiers aussitôt prévenus
arrivèrent avec deux pompes à vapeur. Un pompier nommé Heurteaux a été assez
grièvement blessé au poignet droit par la chute d'une marquise en verre.
Les causes de l'explosion, quoique encore mal déterminées, semblent être les suivantes :
La fabrique se composait d'une maison comprenant trois étages au troisième se trouvait un moteur à gaz distribuant la force motrice à tous les ateliers; les poches de ce moteur se
sont crevées et le gaz, se mélangeant à l'air, produisit un mélange détonant qui s'enflamma aussitôt. La panique,on crut tout d'abord à une explosion de dynamite et sept des ouvriers
qui rentraient de déjeuner et se trouvaient dans les ateliers furent renversés. L'un des fils de M. Fissore reçut une telle commotion qu'un commencement de congestion cérébrale se
produisit.
Les ouvriers se sauvèrent dans toutes les directions et deux d'entre eux, MM. Bounet-
Cottu et Victor Duchesne ont été brûlés à la tête et à la figure; les autres sont également
brûlés, mais moins grièvement.
A deux heures, M. Lépine est arrivé. A ce moment, l'incendie prenait son plus grand
développement. Tout à coup, l'on entendit des cris s'échapper d'une fenêtre du
troisième étage : c'était une ouvrière, Françoise Riquier, qui n'avait pu s'enfuir.
Un gardien de la paix, Bochet, s'élança dans l'escalier déjà à moitié enflammé, s'empara de
l'ouvrière qu'il ramena saine et sauve, tandis que le plancher du troisième étage s'effondrait, entraînant avec lui le moteur à gaz.
Une autre ouvrière, Mlle Antonia Vidogne, prisonnière également au milieu des flammes au
troisième étage, sauta sur un toit, mais elle se blessa assez grièvement en tombant.
Les huit lances qui avaient été mises en batterie eurent cependant raison de la violence du
feu et les immeubles voisins purent être préservés.
A trois heures moins un quart, les pompiers étaient maîtres du feu qui ne couvait plus que
dans des amas de bois et de chiffons entassés au rez-de chaussée des ateliers.
Tout danger étant écarté, les équipes de pompiers regagnaient leur caserne, laissant sur le
lieu du sinistre quelques hommes pour éteindre les foyers différents. A trois heures, la
circulation fut rétablie.
L'enquête
Bien que l'enquête ouverte par M. Benezech, commissaire de police du quartier, n'ait
encore donné aucun résultat définitif,
il est déjà démontré que l'explosion ne peut-être attribuée qu'à un accident.
Toute idée de malveillance doit être écartée puisque le gardien de la manufacture affirme
qu'aucune personne n'était restée dans l'atelier pendant l'heure et quart réservée au
déjeuner des ouvriers et ouvrières.
Un de nos confrères a pu avoir quelques minutes d'entretien avec M. Louis Fissore, fils ainé du directeur de la manufacture.
« J'étais à notre magasin de vente de la rue d'Haute ville, a-til dit, et je me préparais à
venir rue de Bellefond, lorsqu'on vint m'avertir que le feu s'était déclaré dans notre
manufacture ou, plus exactement, dans notre dépôt. J'accourus aussitôt juste à temps pour sauver les livres de commerce et les sommes contenues dans le coffre-fort.
Je ne puis encore m'expliquer les causes de l'accident, mais si le feu a pris une aussi rapide extension, cela tient à ce que les ateliers, qui n'étaient que provisoires, étaient construits
très légèrement en bois et en briques. »
Il sera difficile de découvrir si l'accident est dû à un vice de construction puisque le moteur
est tombé du troisième au rez-de chaussée en se détériorant considérablement dans
sa chute.
Grâce à la présence d'esprit du gardien et de la concierge de la maison voisine un malheur plus considérable a été évité; dès le commencement de l'incendie ils ont eu la présence
d'esprit de fermer aussitôt le compteur à gaz des ateliers et des maisons avoisinantes.
« Les pertes matérielles sont considérables, dit M. Louis Fissore en terminant, mais mon
père était assuré à différentes compagnies et je crois que les pertes seront couvertes ».
L'état des lieux
Des fenêtres de l'escalier de la maison portant le n° 22 de la rue Bellefond, on peut dominer les ateliers de M. Fissore. Le spectacle est lamentable. De la construction adossée au mur de la maison portant le n°4 de la rue de Chantilly, où demeure notre collaborateur Charles
Bos, il ne reste plus que la charpente extérieure dont les poutres sont calcinées et qui ne
tient plus debout que par un prodige d'équilibre. Le toit couvert de briques s'est effondré par endroit et laisse apercevoir dans un pêle mêle indescriptible différents instruments de
musique mêlés aux outils et aux effets des ouvriers.
Les parquets des quatre étages composant la manufacture sont en partie effondrés.
En prévision d'un effondrement possible, les pompiers ont commencé à placer des poutres de soutènement et à abattre un immense vasistas placé au centre du hangar couvrant la
cour qui sépare la maison d'habitation de la manufacture, et qui menaçait à chaque minute de tomber sur les personnes circulant au milieu des décombres.
Le Figaro du 3 avril 1896 :
...Comme marchandises, environ 300
tambours, 200 violons, une dizaine de harpes, de nombreux lots de
cordes à instruments de musique, prêts ou entrain, un grand nombre
d'instruments de cuivre sont détériores ou perdus complètement...
Source J.L Matté. Musique adresses 1921.
Almanach de l'étranger à Paris :
guide pratique pour...
1867 : FISSORE. — Rue des
Petite s-Écuries, n° 43. — Grand
choix de violons, harpes;
clarinettes et flûtes à des prix très-modérés.
Note: le 43 est éventuellement une erreur, le 41 est mentionné sur l'acte de naissance de Gustave Robert en 1867. En 1863 domicilié rue du Petit Carreau, 3.
Annuaire musical 1875:
Instruments de musique à vent en bois,
et en cuivre à anches.
Fissore, 5, r. Martel.
Annuaire musical et orphéonique de
France 1876:
INSTRUMENTS DE MUSIQUE A VENT
Instruments de musique à vent en bois,
et en cuivre à anches
Fissore, 5, r. Martel.
Annuaire général de la musique et des
sociétés chorales et instrumentales de France...1888 :
INSTRUMENTS DE MUSIQUE EN BOIS :
Fissore (J.), rue Hauteville, 70.
Annuaire industriel. Répertoire
général de la production française 1925 :
FISSORE (Joseph), 51, r. de
Chabrol, Paris, 10è.
T. Roq. 55-44. Manufacture d'instruments de
musique et de cordes harmoniques. Harpes, pianos, violons anciens,
lutherie d'art. Vente, achat, échange. (17-33082).
Annuaire-almanach du commerce, de
l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach
des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays
étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis :
1863 : Fissore (J.), cordes
harmoniques, Nve-St-Eustache.54.
1870-1874 : Fissore (Jh), luthier,
Petites-Ecuries, 41.
1875-1877 : Fissore (Jh),
cordes harmoniques, Martel, 5.
1879 : Fissore (J.),
instruments de musique, Hauteville, 70.
1890-1891 : Fissore (J.),
instruments de musique, rue Hauteville, 70.
Fissore (J.) fils, instr. de
musique en bois, Lancry, 10.
1892-1893 : Fissore (J.)
fils, boul. de Strasbourg, 62.
Fissore (J.), Hauteville, 70.
1894 : LAUBÉ, usine à vapeur,
maison de premier ordre pour la fabrication des clarinettes,
flûtes,
flageolets de tous systèmes.
Spécialité
d'instruments d'artistes très soignés. Commission, exportation, à
la Couture-Bous-
sey (Eure), gare Bueil, représ.à Paris :
J. Fissore fils, rue du Faub.-St-Denis,
108.@
Fissore(J.), r. d'Hauteville, 70.
Luthier : Fissore (R.). boul.
du Temple, 46.
1896-1897 : Fissore (J.),
instruments de musique, r. Hauteville, 70.
1898-1907 (dernière année
disponible): rue Bellefond 22 bis Bazin, hôtel meublé.
Fissore (J.),
instruments de musique.
Fissore (J.), spécialité de
fournitures pour l'armée; tambours, clairons et peaux de tambours,
r. Bellefond, 22 bis.
Source Ebay, pseudo freval91 trompette
Fissore. Mes remerciements.
Annuaire des artistes et de
l'enseignement dramatique et musical :
1893- Paris :
Fissore père, 70, rue
d'Hauteville.
Fissore fils, 62, boulevard de Strasbourg.
Laubé, Fissore fils
(représentant), 62, boulevard de Strasbourg.
La Couture Bosussey : LAUBE,
fabricant d'instruments en bois, représenté à Paris
par
J. Fissore, 10, rue de Lancry,
1894 :Facture instrumentale.
ACCORDEONS ET HARMONICAS- (Fabricants d').
Fissore, 70, rue d'Hauteville.
Fissore (E.), 46, boulevard du
Temple.
ARCHETS (Fabricants d'). Instruments de musique à vent en
bois (Fabricants d'). .
Fissore, 70, rue d'Hauteville.
Fissore (E.), 46, boulevard du Temple.
1895 : Facture instrumentale.
ACCORDEONS ET HARMONICAS- (Fabricants d').
Fissore, 70, rue
d'Hauteville.
ARCHETS (Fabricants d'). Instruments de musique à
vent en bois (Fabricants d'). .
Fissore, 70, rue d'Hauteville.
1899 Fabricant de corde harmoniques.
Fissore père, 70, me
d'Hauteville.
GROS – EXPORTATION Fissore père,
70, rue d'Hauteville.
CORDES (Marchands de). Fissore, 22
bis, rue de Bellefond.
1903-1910 : Luthiers .
Fissore (J.), 22 bis, rue de
Bellefond.
Annuaire des artistes et de...1905.
Annuaire du commerce Didot-Bottin :
1914 : Fissore (J.), r. de
Bellefond, 22 bis.
Fissore (Joseph) fils, rue de Chabrol,
51.
1922 : FISSORE (JOSEPH),
successeur de son père, grand choix de harpes Erard. Achat, vente et
locations, r. de Chabrol, 51. Tel Nord 55.44.
Musique adresses 1913 :
Fissore (J.) père, 22 bis, rue de
Bellefond (IXè).-Musique et instruments.-Fond en 1860 ;
Fissore Joseph fils, 51, rue de Chabrol
(Xè).-Lutherie et accessoires.- Tél Nord 55-44.
Musique adresses 1921 :
Fissore Joseph fils, 51, rue de Chabrol
(Xè).-Lutherie et accessoires.- Tél Nord 55-44.-Fondé en 1850.
Note : l'origine du fond est plus
probable en 1860, je ne sais pas si son activité antérieure de chanteur
ambulant pourrait se définir comme un fond ?
Musique adresses 1929 :
Fissore Joseph fils, 51, rue de Chabrol
(Xè).-(Métro Poissonnière).-Lutherie et accessoires.- Location de
harpes.-Tél Prov 09-93.-Fondé en 1850.
Le Journal du 29 août 1925 :
Nous apprenons la mort de M. Joseph
Fissore, luthier, décédé en son domicile, 22 rue de Bellefond. Ses
obsèques auront lieu demain dimanche, à midi, en l'église saint
Vincent de Paul. On se réunira à la maison mortuaire. Le présent
avis tient lieu d'invitation.
Source Ebay, pseudo freval91 trompette
Fissore. Mes remerciements.
Etienne Joseph Fissore :
L'Indicateur des mariages : relevé des
mariages affichés dans les mairies 1865-10-01 :
10 è Arrondissement (MAIRIE DE
L'ENCLOS-ST-LAURENT).
Fissore, marchand d'instruments de
musique, rue des Petites-Écuries, 41.
Acte de mariage de Etienne Joseph
Fissore le 14 août 1866 dans le 10 ème ardt à Paris :
...Etienne Joseph Fissore, marchand
d'instruments de musique, né à Tortone (Piémont) le 26 décembre
1827, demeurant à Paris, rue des Petites Ecuries n°41, veuf de
Bertha Weiler, fils majeur de Jean baptiste Fissore, marchand de
fers, demeurant à Tortone et de Paule ferrando son épouse,
décédée...et de Henriette Dupuich, couturière née à Amiens
(Somme)le 6 juillet 1843...qu'ils légitiment deux enfants, nés à
Paris, l'un le 11 novembre 1863 enregistré à la 2 ème mairie sous
les prénoms Jean Baptiste Victor, l'autre le 20 janvier 1866
enregistré à cette mairie sous les prénoms Henri Joseph tous deux
comme fils de Etienne Joseph Fissore et de Henriette Dupuis...
Note : Etienne Joseph Fissore, né
le 26 décembre 1827, à Tortone (Piémont Sardaigne) chanteur
ambulant. Marié le 23 janvier 1858, demeurant à
Boulogne sur Mer, 62, Pas de Calais, FRANCE, rue Royale 22,
avec Bertha WEILER, née le 8 juillet 1827 -
Harbourg, Hanôvre, ALLEMAGNE, décédée, Chanteuse ambulante, musicienne, en
présence de Georges Schumacher, artiste musicien...
Note : Tortone est située en
Piémont au nord de Gènes près d'Alexandrie.
Deux enfants : Joseph Robert
Fissore né le 1 septembre 1856 à Boulogne sur mer (Pas de Calais) et décédé le lendemain.
Jean Baptiste Louis né le 26 novembre
1857 à Wazemmes- Lille (Nord) légitimé lors de leurs mariage (Boulogne le 23 janvier 1858), décédé le 4 juin 1858 à Wazemmes.
Acte de décès de Henriette Dupuich le
2 août 1887 dans le 10 ème à Paris :
...âgée de 44 ans, rentière...décédée
rue Chabrol, 63,...épouse de Joseph Etienne Fissore âgé de 58 ans,
négociant...sur la déclaration de Joseph Fissore, âgé de 21 ans,
employé, rue des Messageries, 5
et de Vincent Cono, âgé de 27 ans,
employé, rue des Messageries, 21, cousin...
Acte de naissance de Henriette
Joséphine Fissore dans le 9 ème à Paris :
L'an 1891, le 8 juillet...née
hier...chez ses père et mère, rue Bellefond, 22, fille de joseph
Etienne Fissore, âgé de 62 ans, négociant...
Acte de naissance de Henriette
Joséphine Fissore :
Reconnaissance :
...L'an 1894, le 22 mars...acte de
reconnaissance de Henriette Joséphine Fissore...fille de Joseph
Etienne Fissore qui l'a reconnue, et de Marie Cottu...sur la
déclaration de Clémence Cottu, âgée de 24 ans, sans profession,
demeurant rue Bellefond, 22...
Note : décédée le 13 juillet
1895, rue Bellefond, 22, son père, âgé de 66 ans était
négociant ; sur la déclaration de Victor Fissore, âgé de 32
ans, employé de commerce, rue Condorcet, 50...
Acte de décès de Joseph Etienne
Fissore le 24 février 1916 dans le 9 ème ardt à Paris :
...est décédé en son domicile, rue
de Bellefond, 22, Joseph Etienne Fissore, né à Tortona (Italie) le
24 décembre 1827, fabricant d'instruments de musique...
Joseph Henri Fissore :
Etats de service de Henri Joseph,
classe 1886 :
Né le 20 janvier
1866 à Paris 10è, résidant à Paris, faubourg Saint Denis
148, profession employé de commerce, fils de Joseph Etienne et de
feue Henriette Dupuich domiciliés à paris rue d'Hauteville 70...
localités successives habitées :
20 août 1895 Paris 53 rue
d'Hauteville. Paris 10 è.
18 janvier 1900 Nice (AM) 6 rue
Champin ;
19 mars 1901 Paris 22 rue de Bellefond.
9 è.
Note : marié à la Couture
Boussey le 10 juillet 1886 avec Laubé Marie Cornélie.
Sur le recenssement de 1926 au 22 rue
Bellefond, Fissore Laure est née en 84 à Paris et Patronne d’hôtel.
En 1931, luthier dans le 10 ème et née en 86, Seine. En 1936, née en
1878 et luthière dans le 10 ème.
Acte de mariage du 10 juillet 1886 :
...Fissore Henri Joseph, employé de
commerce...fils mineur et légitime de Fissore Joseph Etienne et de
Dupuich Henriette, marchands d'instruments de musique avec lesquels
il est domicilié à Paris, rue de Chabrol, 63...et de demoiselle
Laubé Marie Cornélie...fille mineure et légitime de Laubé Louis
Pierre Drossin et de Villedieu Cornélie, fabricants d'instruments de
musique...en présence de ...Rousseau Louis Pierre, luthier,
domicilié en cette commune...
Note: divorcés le 7 novembre1895.
Domicilié en date du 7 novembre 1895, rue Saint Denis 148.
Marie Cornélie Laubé :
Née le 1er juin 1866 -
La Couture Boussey. Décédée le 17 mai 1943
- Ivry la Bataille, à l'âge de 76 ans. Mariée le 25 juillet 1904,
La Couture Boussey, , , ,, avec Charles Léon
DELEVALLEZ 1865-1908 dont Cécile Charlotte Cornélie
DELEVALLEZ 1905-1993.
Mariage de Joseph Henri Fissore le 18
septembre 1900 dans le 15 ème ardt à Paris :
...Joseph Henri Fissore...fabricant
d'instruments de musique, domicilié rue de Bellefond, 22, avec son
père, fils majeur de Etienne Joseph Fissore, fabricant d'instruments
de musique...et de Laure Marie Ange Eugénie Castanier, née au 7 ème
ardt de Paris, le 29 septembre 1878, professeur de musique...en
présence de Robert Fissore, fabricant d'instruments de musique, âgé
de 32 ans, demeurant rue Bellefond, 22...
Acte de décès de Joseph Henri Fissore
le 27 août 1925 dans le 9 ème ardt à Paris :
...est décédé en son domicile, rue
de Bellefond, 22, Joseph Henri Fissore, luthier, né à Paris le 21
janvier 1866, fils de Etienne Joseph Fissore et de Henriette Dupuich,
époux décédés. Epoux divorcé de Marie Cornélie Laubé. Epoux en
secondes noces de Laure Marie Ange Eugénie Castanier, sans
profession, même domicile. Dressé le 29 août 1925...
Acte de décès de Laure, Marie-Ange,
Eugénie Castanier le 16 novembre 1963 dans le 10 ème ardt à
Paris :
...Née à Paris 7 ème ardt le 29
septembre 1878, retraitée, domiciliée à Paris X ème, 71 rue de
Chabrol...veuve de Joseph Henri Fissore...
Gustave Robert Fissore :
Etats de service de Gustave Robert
Fissore, classe 1887 :
...né le 6 novembre 1867 dans le 10 è
à Paris, résidant à Paris 46 Bd du Temple...profession de
commissionnaire, fils de Etienne Joseph et d'Henriette Dupuich...
21 juin 1895, Paris 8 rue des
Messageries. 8 è.
20 août 1901, Taverny, 27 rue du midi.
Note : né rue des Petites Ecuries
41, le père était négociant et âgé de 39 ans.
Le 8 rue des Messageries succède à la faillite du 46 b. du Temple.
Source Gallica. Annuaire des artistes et de ... de 1894.
R. Dupuich et R. Fissore sont la même personne.
Archives commerciales de la France :
journal hebdomadaire... 1895-06-26:
Déclarations de Faillites :
Fissore (Robert)- Luthier (ex-)-46 b du
Temple-20 juin.
Acte de mariage de Gustave Robert
Fissore le 25 juin 1901 dans le 9 ème ardt à Paris :
...Gustave Robert Fissore, né le 6
novembre 1867, à Paris, y domicilié boulevard Rochechouart, 11,
employé de commerce, fils majeur de Etienne Joseph Fissore,
négociant à Paris, rue de Bellefond, 22 bis...et de Marie Pauline
Lardeau, née le 6 février 1865 à Paris, y domiciliée rue
Rochechouart, 11...en présence de Victor Fissore, négociant, 37
ans, rue Condorcet, 50 ; Albert Caressa, négociant, officier
d'académie, rue Rochambeau...
Acte de décès de Gustave Robert
Fissore le 16 février 1916 dans le 9 ème ardt à Paris :
...est décédé en son domicile, rue
de Bellefond, 32, Gustave Robert Fissore né à Paris, âgé de 48
ans, fabricant d'instruments de musique, fils de Joseph Etienne
Fissore, rentier, même domicile et de Henriette Dupuich, son épouse
décédée, époux de Pauline Lardeau...
Jean Baptiste Victor Fissore :
Etats de service de Jean Baptiste
Victor, classe 1883 :
...résidant Paris, rue Condorcet n°50,
9è, profession d'employé fils de Etienne Joseph et de Henriette
Dupuich domiciliés à Paris rue Condorcet n°50...
Le 24 septembre 1905, Paris, 25 rue La
tour D'auvergne. 9è.
Note : marié le 23 septembre 1909
dans le 9 ème.
Extraits :...domicilié rue de
Latour d'Auvergne 4, marchand d'instruments de musique...et de
Marie-Louise Flore D' hervilly, née le 16 janvier 1862...en présence
de Robert Fissore, 43 ans, négociant à Taverny, rue Vaucelles, 63,
frère de l'époux...
Note : né rue du Petit Carreau 3,
père négociant âgé de 36 ans...en présence de Martin Denis
Thibouville, âgé de 43 ans, facteur d'instruments, demeurant à
Paris rue des Vieux Augustins, 69...(Voir Thibouville Martin
-Bercioux).
L'Art musical du 11 décembre 1936. Source Gallica.
Source Ebay, pseudo freval91 trompette
Fissore. Mes remerciements.
Espacenet Brevet: source Inpi.
Sourdine mobile automatique :
n°467 660.
Brevet demandé par M. Henri Joseph
Fissore fils résidant en France (Seine).
Demandé le 23 janvier 1914...à Paris.
Demande de brevet déposée en Belgique
le 31 janvier 1913.
Source Espacenet FR467660A sourdine pour violon.
Annuaire du commerce Didot Bottin de 1914.
Système de médiator pour le jeu de la
mandoline et des autres instruments analogues:n°333 779.
Brevet de quinze ans demandé par M.
Joseph Henri Fissore résidant en France.
Demandé le 11 juillet 1903...à Paris.
1 ère addition demandée le 2 août
1905 : n°5081.
Source Espacenet FR333779 médiator.
Source Espacenet médiator 333779 1 ère addition.
Vu sur J.P. Cognier : mes remerciements.
https://www.luthiers-mirecourt.com/fissore_joseph_1913.htm#retour
Extrait de l'introduction au catalogue:
"
Le catalogue s'achève sur les méthodes
instrumentales puis un choix de livres de lutherie et pas à ma
grande surprise les cotes d'instruments de Robert Fissore, dont je
n'ai pas trouvé de lien avec Joseph père et fils..."
Note: Joseph père et Robert fils et frère de Joseph. La publicité de 1894 ci-dessus fait état de la côte des instruments de R. Dupuich, en fait Robert Fissore s'est servi du nom de jeune fille de sa mère disparue en 1887. On trouve des publicités aux deux noms.
Joseph Henri Fissore : marques de
fabriques- Source Iremus.
Fiche N°: 422
Dépôt: 27.07.1905
Spécialité: Luthier
Adresse et mandataire éventuel: Rue
de Bellefond, N° 22 Mandataire sous seing privé : J. Chassevent.
Greffe du tribunal de commerce:
Paris (La Seine), N° 91263.
Description de la marque:
Dénomination : « “LE FIXE” ». «
Destinée à un médiator pour mandolines et autres instruments à
cordes pincées. » (à appliquer par poinçonnage ou de toute autre
manière sur la garniture métallique du médiator ou sur le carton
de présentation | peut varier de caractères, de dimensions et de
couleurs).